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Les Protocoles des Sages de Sion
Un livre en avance sur son temps. Les Protocoles des Sages de Sion tablaient déjà en 1900 sur l'asservissement des Nations par le système financier.
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Ce n’est certainement pas moi qui pourrais dire si ce livre est un faux ou non. Ce n’est pas moi qui pourrait dire s’il a été écrit par des sionistes, des juifs, ou comme le veut la thèse officielle un Russe dénommé Mathieu Golovinski. Je penche d’avantage vers cette dernière version qui pour diverses raisons m’apparaît crédible.
Mais s’il est une chose que je peux affirmer c’est que l’auteur du livre connaissait, il y a plus de 100 ans, les clés de la domination mondiale. Même si les thèmes sont abordés de façon relativement vague, ils sont très clairement l’expression de ce qu’est devenu le monde. Une élite, de quelque bord qu’elle eut été, savait déjà comment asservir les peuples. Et il est impossible de nier le fait que les buts décrits dans Les Protocole des Sages de Sion sont aujourd’hui en application. Ce n’est pas moi qui pourrais vous dire qui les a mis en œuvre, mais ce qui est sûr c’est qu’ils le sont.
L’élément le plus notoire est celui de l’asservissement des peuples et des Etats par l’emprunt. Le principe de la création monétaire par l’emprunt à des banquiers privés comme moyen de domination et de contrôle n’était pas en place en 1900, par contre aujourd’hui nous sommes en plein dedans et nous en subissons tous les jours les conséquences. Voyons ce que disaient les Protocoles à ce sujet :
L’origine des crises économiques
Nous n’avons réussi à faire éclore toutes les crises économiques, si habilement préparées
par nous dans les pays des Gentils, qu’en retirant l’argent de la circulation. L’État se
trouve obligé, pour ses emprunts, de faire appel aux grosses fortunes, qui sont
congestionnées par le fait que l’argent a été retiré au gouvernement. Ces emprunts
constituent une lourde charge pour les États qui sont obligés de payer des intérêts et qui
se trouvent ainsi obérés.
La concentration de la production par le capitalisme a sucé jusqu’à la dernière goutte
toute la force productrice, et, avec elle, toute la richesse de l’État.
Faites ce que je dis
Pour qu’il ne puisse y avoir de retards dans le paiement des dépenses de l’État, le
souverain lui-même donnera des ordres fixant les dates des paiements. Ainsi disparaîtra
le favoritisme qui existe, dans certains ministères des finances, à l’égard d’autres
ministères.
Les comptes des revenus et des dépenses seront tenus ensemble pour qu’ils puissent
toujours être comparés.
Les plans que nous ferons pour réformer les institutions financières des Gentils seront
présentés de telle manière qu’ils n’attireront jamais leur attention. Nous indiquerons la
nécessité de réformes comme provenant de l’état de désordre auquel ont atteint les
finances des Gentils. Nous montrerons que la première raison de ce mauvais état des
finances provient de ce qu’au début de l’année financière on commence par faire une
évaluation approximative du budget dont l’importance augmente chaque année, parce
que, tel qu’il est, il suffit à peine pour aller jusqu’à la fin du premier semestre ; on
propose une révision, on ouvre de nouveaux crédits, qui, généralement, sont absorbés au
bout de trois mois ; on vote alors un budget supplémentaire, et, pour boucler le budget, il
faut encore voter des crédits pour sa liquidation. Le budget de l’année est basé sur le
chiffre des dépenses de l’année précédente ; or, il y a, chaque année, un écart de 50 %
entre la somme nominale et la somme perçue, ce qui fait qu’au bout de dix ans le budget
annuel a triplé. C’est à cette façon de procéder, tolérée par les gouvernements insouciants
des Gentils, que leurs réserves ont été taries. Aussi, lorsque sont venus les emprunts, leurs
caisses se sont vidées et ils ont été sur le point de faire banqueroute.
Vous comprendrez aisément que nous n’adopterons pas cette manière de conduire les
affaires financières que nous avons conseillée aux Gentils.
Les emprunts, faiblesse de l’État
Chaque emprunt prouve la faiblesse du gouvernement et son incapacité de comprendre
ses propres droits. Tout emprunt, comme l’épée de Damoclès, est suspendu sur la tête des
gouvernants, qui, au lieu de lever directement l’argent dont ils ont besoin en établissant
des impôts spéciaux, s’en vont, chapeau bas, chez nos banquiers.
Les emprunts étrangers sont comme des sangsues : on ne peut les détacher du corps de
l’État, il faut qu’elles tombent d’elles-mêmes, ou bien que le gouvernement réussisse à
s’en débarrasser. Mais les gouvernements des Gentils n’ont aucun désir de secouer ces
sangsues ; bien au contraire, ils en accroissent le nombre, se condamnant ainsi à mort par
la perte de sang qu’ils s’infligent. A tout prendre, un emprunt étranger est-il autre chose
qu’une sangsue ? Un emprunt est une émission de valeurs d’État qui comporte
l’obligation de payer les intérêts de la somme empruntée suivant un taux donné. Si
l’emprunt est émis à 5 %, au bout de vingt ans l’État aura déboursé, sans aucune
nécessité, une somme égale au montant de l’emprunt, et cela pour le simple paiement des
intérêts. Au bout de quarante ans, cette somme aura été déboursée deux fois, et trois fois
au bout de soixante ans, l’emprunt lui-même demeurant impayé.
D’après ce calcul, il est évident que de tels emprunts, sous le régime actuel des impôts
(1901), arrache ses derniers centimes au pauvre contribuable, et cela pour payer les
intérêts aux capitalistes étrangers, auxquels l’État emprunte l’argent. L’État ferait bien
mieux de recueillir les sommes nécessaires en levant un impôt qui ne le grèverait pas
d’intérêt à payer.
Tant que les emprunts furent nationaux, les Gentils faisaient tout simplement passer
l’argent des pauvres dans la poche des riches ; mais, lorsque, à force de corruption, nous
eûmes acheté les agents nécessaires, les emprunts étrangers furent substitués aux
emprunts nationaux, et toute la richesse des États se rua dans nos coffres, si bien que les
Gentils en vinrent à nous payer une sorte de tribut.
Par leur négligence dans la conduite des affaires de l’État, ou par la vénalité de leurs
ministres, ou par leur ignorance des choses financières, les souverains des Gentils ont
rendu leurs pays à tel point débiteurs de nos banques qu’ils ne pourront jamais payer
leurs dettes. Vous devez comprendre quelles peines nous a coûté l’établissement d’un tel
état de choses.
Les futurs emprunts d’État
Dans notre gouvernement, nous aurons grand soin qu’il ne puisse se produire d’arrêt dans
la circulation de l’argent ; nous n’aurons donc pas de ces emprunts d’État, sauf un seul
consistant en bons du Trésor, émis à 1 % ; ce faible pourcentage n’exposant pas l’État à
être saigné par les sangsues.
Le droit d’émettre des valeurs appartiendra exclusivement aux sociétés commerciales.
Celles-ci n’auront aucune difficulté à payer les intérêts sur leurs bénéfices parce qu’elles
empruntent de l’argent pour leurs entreprises commerciales, tandis que l’État ne peut tirer
aucun bénéfice de ses emprunts, puisqu’il ne les fait que pour dépenser l’argent qu’il en
reçoit.
L’État deviendra créancier
L’État achètera, lui aussi, des valeurs commerciales ; il deviendra, à son tour, un
créancier au lieu d’être débiteur et de payer tribut comme il le fait de nos jours. Ceci
mettra fin à l’indolence et à la paresse qui nous rendaient service tant que les Gentils
étaient indépendants, mais qui seraient honnies dans notre gouvernement.
La faillite, seule issue pour les non-juifs
Le vide qui existe dans le cerveau purement bestial des Gentils est suffisamment prouvé
par le fait qu’ils ne comprennent pas qu’en nous empruntant de l’argent ils auront, un jour
ou l’autre, à soustraire des ressources du pays le capital emprunté avec ses intérêts. Il
aurait été plus simple de prendre, tout de suite, l’argent des leurs, auxquels ils n’auraient
pas eu à payer d’intérêts. Voilà qui prouve notre génie et le fait que notre peuple a été
choisi par Dieu. Nous avons si bien présenté les choses que les Gentils ont cru qu’il y
avait pour eux un bénéfice à tirer des emprunts.
Nos calculs, que nous exposerons en temps voulu et qui ont été élaborés au cours des
siècles, tandis que les Gentils gouvernaient, différeront des leurs par leur extrême clarté
et convaincront le monde des avantages de nos plans nouveaux. Ces plans mettront fin
aux abus qui nous ont permis de nous rendre maîtres des Gentils et que nous ne tolérerons
pas sous notre règne. Notre budget sera compris de telle façon qu’il sera impossible au
souverain, comme au plus petit employé, de distraire la moindre somme d’argent sans
être vu, ou de lui donner un tout autre emploi que celui qui a été prévu.
Il est impossible de gouverner avec succès si l’on n’a pas un plan fixe bien défini. Les
chevaliers et les héros eux-mêmes périssent s’ils s’aventurent dans un chemin sans savoir
où il conduit et s’ils partent en voyage sans s’être convenablement approvisionnés.
Les souverains des Gentils, encouragés par nous à abandonner leurs devoirs, pour ne
penser qu’à paraître, à recevoir fastueusement et à se divertir de toute manière, nous ont
servi d’écran pour dissimuler nos intrigues.
Les rapports de leurs partisans, envoyés pour représenter le souverain en public, étaient
faits, en réalité, par nos agents. Ces rapports étaient toujours rédigés de façon à plaire aux
souverains à l’esprit borné.
On ne manquait pas de les assaisonner de projets variés d’économie future. Ils auraient
pu demander : « Comment pourrait-on économiser ? Serait-ce par de nouveaux
impôts ? » Mais ils ne posaient aucune question semblable aux lecteurs de nos rapports.
Vous savez vous-mêmes à quel chaos financier ils ont abouti, par leur propre négligence ;
ils ont fait banqueroute, en dépit de tous les durs efforts de leurs sujets.
VINGT-ET-UNIÈME PROTOCOLE
Mécanisme des emprunts nationaux
Je veux maintenant reprendre le sujet de notre dernier entretien et vous donner une
explication détaillée sur les emprunts nationaux. Je ne parlerai plus des emprunts
étrangers, parce qu’ils ont rempli nos coffres de l’argent des Gentils, et encore parce que
notre gouvernement universel n’aura pas de voisins à qui emprunter d’argent.
Nous avons employé la corruption des hauts fonctionnaires et la négligence des
souverains des Gentils pour faire verser à l’État deux et trois fois l’argent par nous
avancé, et dont, en réalité, il n’avait pas besoin. Qui pourrait en faire autant à notre
égard ? Je passe donc aux détails sur les emprunts nationaux.
En annonçant l’émission d’un emprunt national, le gouvernement ouvre une souscription.
Pour que les valeurs émises soient à la portée de tous, elles sont à très bas prix. Les
premiers souscripteurs peuvent acheter au-dessous du pair. Le second jour, le prix
augmente, pour donner l’impression que tout le monde se les arrache.
Quelques jours plus tard, les coffres du Trésor sont pleins de l’argent souscrit
surabondamment. (Pourquoi continue-t-on de prendre l’argent lorsque l’emprunt est
couvert et au-delà ?) La souscription est, évidemment, bien supérieure à la somme
inscrite pour l’emprunt ; c’est là qu’est tout le succès : le public a toute confiance dans le
gouvernement !
Les dettes d’État et les impôts
Mais, quand la farce est jouée, il ne reste plus que le fait d’une énorme dette à payer. Et,
pour en servir les intérêts, il faut que le gouvernement ait recours à un nouvel emprunt
qui n’annule pas la dette de l’État mais qui l’augmente, tout au contraire. Lorsqu’il ne lui
est plus possible d’emprunter, l’État lève de nouveaux impôts pour arriver à payer les
intérêts de ses emprunts. Ces impôts ne sont pas autre chose que des dettes qui couvrent
d’autres dettes.
Les conversions d’emprunts
Nous arrivons alors aux conversions d’emprunts, mais ces conversions ne font que
diminuer la somme d’intérêts à payer, sans éteindre la dette. De plus, on ne peut les faire
qu’avec le consentement des créanciers. Lorsqu’on annonce ces conversions, on laisse le
droit aux créanciers de les accepter ou non, et, dans ce dernier cas, ils peuvent retirer leur
argent. Si tout le monde retirait son argent, l’État se trouverait pris dans ses propres filets
et ne pourrait satisfaire toutes les demandes. Par bonheur pour les gouvernements, les
Gentils n’entendent pas grand’chose aux questions financières, et ils ont toujours préféré
consentir à une diminution de leurs valeurs et à une réduction des intérêts, plutôt que de
risquer de nouveaux placements : c’est ainsi qu’ils ont souvent aidé l’État à se libérer de
ses dettes s’élevant, dans certains cas, à plusieurs millions.
Les Gentils n’oseraient pas opérer de même pour les emprunts étrangers, sachant très
bien que nous exigerions alors tous nos capitaux.
Ne pas éveiller la méfiance du peuple
En agissant de la sorte, le gouvernement admettrait ouvertement son insolvabilité, ce qui
montrerait au peuple que ses intérêts n’ont rien de commun avec ceux de l’État. J’attire
tout particulièrement votre attention sur ce point, comme sur le suivant.
La consolidation des emprunts nationaux
Tous les emprunts nationaux sont, actuellement, consolidés par ce qu’on appelle des
emprunts provisoires, dont l’échéance est de courte durée. Ces emprunts sont couverts au
moyen de dépôts dans les banques d’État ou à la Caisse d’épargne. Cet argent étant à la
disposition de l’État pendant un temps considérable, il est employé à payer les intérêts
des emprunts étrangers, et le gouvernement remplace l’argent qu’il prend dans ces
banques par des valeurs d’État. Ce sont ces valeurs qui couvrent tous les déficits dans les
coffres des gouvernements des Gentils.
Détruire le marché des valeurs
Toutes ces opérations frauduleuses disparaîtront lorsque notre souverain montera sur le
trône universel. Nous détruirons également le marché des valeurs, parce que nous ne
permettrons pas que notre prestige puisse être ébranlé par la hausse ou la baisse de nos
fonds, dont la valeur nominale sera fixée par la loi, sans possibilité de fluctuation. La
hausse est la cause de la baisse, et c’est par les hausses que nous sommes arrivés à
discréditer les fonds publics des Gentils.
Monopoliser les affaires commerciales
Nous substituerons aux marchés des valeurs d’énormes administrations d’État, dont le
service consistera à taxer, suivant les ordres reçus, les entreprises commerciales. Ces
administrations seront à même de lancer sur le marché des millions d’actions
commerciales ou de les acheter en un seul jour. Toutes les affaires commerciales seront
ainsi entre nos mains.
Vous pouvez imaginer quelle force sera la nôtre !
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Une analyse des Protocoles en faveur de la version officielle : France-jeune.net
Bonne continuation
Tags : etat, emprunts, gentils, argent, payer
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Commentaires
Salut Prof,
Ton analyse en premier lieu logique est malgré tout construite sur un paradoxe.
Tu dis : "'expliquer via le prisme de nos propres croyances", et je te l'accorde chacun de nous analyse avec sa subjectivité les différents éléments. Mais en disant cela tu exprimes à juste titre que les humains ont des croyances et que celles-ci les influencent dans leur façon de penser et d'agir. Alors je ne vois pas pourquoi notre élite serait si différente de nous. Elle aussi à mon sens agit "selon le prisme de ses propres croyances", qui peuvent être multiples. Et parmis c'est croyances il peut y avoir en effet le materialisme mais aussi la khabbale par exemple.
Madonna nous le rappelait encore dernièrement lorsqu'elle est allé en Israel pour pratiquer officiellement un pelerinage khabbaliste.
Maintenant savoir où chercher pour comprendre ce qu'il se passe et comment cela se passe, je n'en ai aucune idée. Et c'est pour cela justement que contrairement à toi j'envisage plutôt d'étudier toutes les voix possibles. Qu'elles soient du ressort du materialsime, du religieux, du satanisme, de l'extranéen etc... Pour moi toutes les portes de reflexions sont ouvertes, car je crois que pour qui veut comprendre c'est là le seul chemin. Un chemin tellement long et usant que parfois je ferais bien demi-tour et laissant tout tomber.Paradoxalement, plus on en sait et plus les certitudes s'éloignent, plus les fontières autrefois très bien définies deviennent floues. C'est difficile, mais c'est surtout là qu'est la vrai liberté. Celle de se libérer des frontières oppréssives de notre éducation.
Ceci dit, il se peut en effet que tout est purement materiel. Mais la seule solution de le savoir c'est d'étudier toutes les possibilités.
Et sinon pour ceux qui n'ont pas le temps, on peut aussi arrêter de chercher. Ce qui est sûr c'est qu'on se fait enculer. Et c'est déjà bien de le comprendre, après par qui et comment ça se passe, défois mieux vaut laisser la lumière éteinte.
Merci pour ton inter Prof, à très bientôt j'espère
3yannick66Mardi 27 Octobre 2009 à 09:27pour ma part voila ce ke je pense, personellement je ne suis pas spécialement croyant c a dire ke je ne sais si un dieu existe ou je c pas koi d'autre pck aprés tou , tout est possible. Kan je vois ce ke font les elites satanistes j'ai deux aproches du sujet soit les divinités existent (dieu, satan) et donc ce sont des sacrée enculer que d'invoquer des démons en tous genre y compris satan, soit si sa n'existe pas ils sont completement dégénéré!!!! dans les deux cas on é mal baré!!4prof psygroovesMardi 27 Octobre 2009 à 10:46C'est sur qu'on se fait enculer à plein tubes (mais pas de vaseline), et le pire c'est qu'on garde le sourire !!!
D'accord à fond avec toi mon vieux sur le paradoxe de ma remaqrue, mais justement ce que j'entendais par là c'est que ce prisme peut nous empêcher de chercher à tout voir, i.e. toutes les explications possibles.
D'un autre côté, pendant qu'on cherche à expliquer le mouvement illuminati dont on ne sait pas vraiment d'où viennt les informations, on prend le risque de partir dans un trip mysthique, et de ne plus AGIR. Certes on n'a pas beaucoup de moyens d'action tant qu'on ne dégaine pas les fourches et les piloris, mais chacun peut le trouver à son niveau, enfin là je m'égare un peu ... ;D
dans la foulée de ce que tu dis yannick, je dois dire que pour ma part, je suis assez clairement agnostique, et non athée, et je reste persuadé qu'une force (énergie ? dieu ? au final on s'en fout un peu) est bien supérieure à tout ce que nous pouvons imaginer et concevoir, et qu'elle "décide" pour tout ce qu'il y a d'organique ou minéral autour de nous. Et de ce fait là, je ne crois qu'on puisse prêter à nos chères élites la capacité de la maitriser.
Donc comme tout être (bassement) humain qui se respecte, elles s'accrochent à ce qui lui est palpable, et en particulier ces fameux petits bouts de papier...
vaste analyse que celle qui nous attend si nous voulons partir sur des bases saines pour assumer au mieux notre place en ce bas monde
pax & lux5HyperboreaMardi 17 Novembre 2009 à 23:28Comme disait Henri Ford (le père de la voiture du même nom) ; peu importe de dire si ces protocoles sont vrais ou faux, ils décrivent avec précision ce qui arrive aujourd'hui.
Cela seul devrait leur donner du crédit.
Mais si ces protocoles laissent quelques doutes à certains, alors ils n'ont qu'à lire les passages du Talmud concernant les Goyim (tout autres que les Juifs). On ne peut pas lire que c'est un faux celui là au moins. Et c'est beaucoup plus saisissant que les Protocoles.
Ou bien encore, il y a les Espérances Planétariennes de H. Ryssen, excellement documenté. Mais n'allez pas dire que je suis antisémite car je peux vous recommander les travaux d'Israel Shahak, juif de son état et qui n'est pas tendre avec ces congénères. Un homme intègre quoi.
Quand à Yannick66. Avant d'oser écrire, il faut déjà apprendre à écrire. Comme l'aurait certainement dit notre cher Coluche.
Bien à vous.6gelySamedi 23 Janvier 2010 à 18:53HYPERBOREA me rassure, parfois je n'ose pas écrire parce que je fait trop de fautes,à 10ans les curés m'envoyait plus facilement au boulot qu'en classe,mais écrire comme Yannick66 franchement j'aurait honte, quand je pense que mes petits Enfants écrivent pareil ça fait chier, MON DIEU? SATAN est passé par là.7arghhDimanche 13 Mars 2011 à 00:21J'ai 19ans, je suis athé et pour ma part, je pense qu' on renferme tous , en tant qu'être humain, une part de bien et une part de mal et influencable, nos connaissances sont fondées sur ce qu'on nous apprend et ce que l'on voit si on ne cherche pas à comprendre tout ce qui nous entoure. Les francs-macons étaient des gens biens qui défendaient la paix universelle. Pour trouver appui de la population (real power is people), des penseurs ont retournés tout ca et nous font croire au malin en tant que le vrai bienfaisant. Ces textes sont la graine du mal et de l'antisémithisme (la jalousie, l'envie, l'avarice et la théorie d'un complot). Cette théorie du complot est la pour instauré le chaos et asservir le diable afin d'enrichir les malins qui nous gouvernent pas pour nous représenter, mais tirer profits, Michelle Alliot Marie a quitté le gouvernement, elle est franc-macon. Cela ne vous laisse pas à reflechir ? il n'y a pas de conspiration, l'homme est tout simplement devenu mauvais. Je pensai en ce sens là, mais si à l'origine les humains croyaient en des forces surnaturelles ou de la nature, c'était justement dans le but de préserver l'harmonie et la paix. Arretez de vouloir vous battre contre des théories absurdes complotées par des gens qui ont voulu en tirer profit pour leur egos démesurés. hitler n'était pas un illuminati mais un homme assoifé de pouvoir et faible. Il avait d'après lui trouvé les comploteurs, les juifs. Alors que c'est lui qui en a fait un complot et décimé des populations. On nous la met à l'envers à notre époque dans notre contexte et la jeunesse est abrutie par la technologie et son avancée. Il faut arreter de chercher des coupables, l'humain est mauvais et s'est aproprié des bons fondements à des fins egoïstes et egocentrique.j'ai plus qu'une chose à dire soyez bons, justes. Pensez à vos prochains
8arghhDimanche 13 Mars 2011 à 00:23"Ceci dit, il se peut en effet que tout est purement materiel. Mais la seule solution de le savoir c'est d'étudier toutes les possibilités." tu vois, même toi tu es franc-macon. =D
Salut Arghh,
Un peu confus ton commentaire. J'ai un peu de mal à vraiment voir où tu veux en venir. Mais j'en tire quelques infos tout de même.
Tu remets en question la théorie du complot. Je dirais même que tu la nies. Je ne vais pas m'attarder sur ce sujet. Libre à toi de ne rien voir. Les preuves d'une action dissimulée de l'élité contre les peuples pour en tirer profit sont pourtant légions, et nombreuses font aujourd'hui même partie de l'histoire officielle. Complot il y a... Pour ne pas le comprendre c'est que tu dois encore être influencé par les médias. Ou simplement pas informé. Mais rassure toi, à 19 ans j'en savais moins que toi.
Je partage par contre ton opinion sur un point important et même primordial : "soyez bons, justes. Pensez à vos prochains". Je crois en effet aux énergies positives et négatives, qu'elle soient l'oeuvre du diable et de Dieu ou non, il est une évidence qu'elles existent. L'humanité est très probablement aujourd'hui bien plus chargée de négativité que de positivité. Et après une longue reflexion, je crois en effet que le meilleur combat contre l'élite n'est pas l'affrontement direct ,mais l'action inverse de la leur, qui consiste à s'enivrer d'onde positives et de les propager! Aimer les siens, aimer les inconnus, devenir tolérants, bon et solidaire. Le bien être individuel passe par là, et il en est de même pour le collectif.
L'oeuvre de l'élite consiste à propager un maximum, de négativité, d'inhumanité, à nous d'entamer les révolte interieure et de le montrer à l'exterieur.
Fini la consommation à la con, fini de gueuler à la moindre occasion dans sa bagnole, fini de passer ses soirées devant un PC ou un Iphone plutôt que de communiquer et d'aimer ses proches, fini de s'abreuver d'ondes négatives à la fontaine Télé, fini toute cette merde! Aimons nous les uns les autres! C'est con à dire comme ça, mais c'est là la vraie route à suivre.
Si je n'alimente plus ce blog depuis quelques semaines c'est justement parce que j'en suis arrivé à ces conclusions. Et transmettre, toutes ces informations n'aide en rien la propagation de la positivité. Au contraire, j'alimente la haine désirée par l'élite.
Bonne soirée
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à mon sens, pr^ter à cette élite une croyance divine ou au moins métaphysique/philosophique/mystique c'est uniquement un moyen de s'expliquer les choses avec un référentiel humain.
je m'explique quand on ne comprend pas qqchose on cherche toujours à l'expliquer via le prisme de nos propres croyances, et de notre conception du monde. Or les personnes qui cherchent à analyser l'attitude de l'élite ont un lot de croyances (foi religieuse ou idéologique) qui guident leur analyse.
Donc, pour illustrer ça, je dirais que quelque part en focalisant sur les illuminatis on se prive (pour se rassurer inconsciemment) de l'analyse crue et cynique du fait simple et précis que l'élite n'est guidée que par le pouvoir, l'argent, et la domination.
Bien sur il y a du corporatisme là dedans mais j'ai peur que l'explication soit tout simplement (et bassement) matérielle...
Qu'en pensez vous ?
prof.